Si j’avais la baguette magique de l’écriture persuasive…

Baguette magique de l'écriture persuasive

Si j’avais la baguette magique de l’écriture persuasive.

En cette période de fin d’année, la féérie et la magie commencent à être dans tous les coeurs.  

Les enfants rêvent de leur lettre au Père Noël (ou à Saint-Nicolas). Les plus grand commencent à organiser les fêtes, les décorations, les cadeaux, …

Les rues s’illuminent, les activités en famille se multiplient (espérons-le). C’est une ambiance unique qui se crée. 

Tout cet enchantement me fait rêver, m’inspire. 

Je m’imagine avec mon âme d’enfant qui rêvait d’avoir une baguette magique qui me permettrait d’obtenir tout ce que je désirais. 

Et si le pouvoir que j’avais c’était la baguette magique de l’écriture persuasive? 

Cet article un peu différent participe à l’évènement inter-blogueurs “et si j’avais une baguette magique » du blog les-enfants-avenir.com. C’est un blog que j’apprécie beaucoup en particulier ce moment où elle aborde la question de l’équilibre vie professionnelle et vie de famille.

Au début tout est beau.

Quand on lance une nouvelle activité, une start-up, on se sent plein d’énergie, méga-boosté et capable de déplacer des montagnes. 

Dans cette première phase, tout est positif et les obstacles ne font pas peur car on croit en notre produit ou service. On sait ce qu’on peut apporter aux gens et on y va.

Très vite, on se rend compte qu’on doit être sur tous les fronts. Il y a l’activité à développer, les investissements à trouver, le portefeuille de clients à créer, la prospection à faire, …

Argh..

Ça en fait des choses. 

Le risque c’est l’essoufflement. Les résultats n’arrivent pas tout de suite.

C’est normal mais il faut tenir bon, ne pas hésiter à se faire accompagner, déléguer et prendre du recul. 

Elle tomberait à pic la petite baguette magique à ce moment là hein 😉.

Le lien avec le copywriting?

Le copywriting c’est un peu la baguette magique de l’écriture persuasive.

Imagine que … tu dois préparer tes textes pour commencer à vendre tes services ou tes produits et tu

  • sais qui pourraient être tes potentiels clients mais tu n’arrives pourtant pas à les décrire précisément;
  • es conscient de toute la valeur que tu peux apporter mais tu n’arrives pourtant pas à le mettre en mot;
  • comprends que pour convaincre, tu dois réussir à structurer ton message, mettre certains éléments en avant à certains endroits et capt(ur)er l’attention de ton lecteur mais tu ne sais pas trop comment faire. 

Et bien le copywriting, c’est la baguette magique qui te sers à faire ça et bien plus de choses encore! C’est super, non?

Et pourquoi ce serait une baguette magique d’abord? 

Et bien, parce que si ton système est bien pensé et mis en place, il te permettra de trouver des clients et de les convaincre de manière presque automatique. 

Non, ce ne sont pas juste des mots que n’importe qui pourrait écrire. 

Et malheureusement non, il ne suffit pas d’aller copier ce qu’à fait le voisin pour que ça marche. 

De nos jours, nous sommes assaillis d’informations qui nous viennent de toutes parts. Si tu veux faire entendre ta voix par dessus celle des autres, il te faut des techniques efficaces pour être persuasif. 

Les e-commerces en auraient bien besoin de nos jours…

Á cette époque où tout doit basculer dans le digital comme par magie à cause des nombreuses mesures restrictives, cette baguette magique de l’écriture persuasive serait bien utile pour les commerçants.

J’ai une pensée toute particulière pour toutes ces personnes qui ont des commerces physiques qui, du jour au lendemain, ont dû basculer en e-commerce.

Comme si c’était facile à faire en un claquement de doigts…

Si tu fais partie des gens qui ont un e-commerce (construit dans l’urgence ou existant déjà depuis un temps certain), j’ai quelques astuces pour toi.

Mon conseil n°1 c’est que tu continues à t’adresser à tes clients comme s’ils venaient de passer la porte de ta boutique, ton restaurant ou autre, …

Je ne sais pas pourquoi mais énormément d’e-commerce ne proposent que peu ou pas de descriptions de leurs produits. 

Mais si ton client était devant toi, tu essaierais pourtant de lui expliquer pourquoi ce produit est fait pour lui, non? 

Et bien là c’est pareil. 

Il ne faut surtout pas considérer que ton client, parce qu’il est derrière son écran, n’a plus besoin d’arguments pour se laisser convaincre. 

Je consacrerai mon article de la semaine prochaine au copywriting pour e-commerces pour rentrer un peu plus dans les détails. 

Et toi, tu en ferais quoi de cette baguette magique de l’écriture persuasive?

Est-ce que tu te poses des questions sur comment t’adresser aux gens, ce que tu pourrais mettre en place dans ta communication, comment structurer tes textes et éviter le syndrome de la page blanche. 

Dis-m’en plus et souviens-toi que je suis là si tu as besoin d’aide!

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Tu es resté.e sur ta faim? 

Fais le QUIZ: Tes textes t’aident-ils à vendre plus?

Juste 2 minutes pour vérifier si tu maîtrises les éléments de base à prendre en compte pour que tes textes soient convaincants! 

On se voit de l’autre côté!

16 réflexions au sujet de “Si j’avais la baguette magique de l’écriture persuasive…”

  1. Au fil du temps, les mots viennent plus facilement et on a moins peur de se lancer.
    Mais rien n’est jamais acquis et je sens que la marge de progression est encore énorme.
    Comme tu le sous-entends, la première étape est de dédramatiser car on a l’impression qu’il est toujours possible de faire mieux et que l’on passe à coté de quelque chose.
    Par conséquent, ton conseil est excellent

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    • Merci Geoffrey. Oui, le pas le plus compliqué est de se lancer! Mais c’est en faisant qu’on apprend, qu’on prend de l’assurance, qu’on s’affine, qu’on connaît mieux son public. Mieux vaut faire « mal » (disons plutôt de manière imparfaite) que ne rien faire du tout surtout quand on sait que ce ne sera jamais parfait à nos yeux! Nous nos critiques les plus exigeants .

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  2. Que de conseils évidents en apparence mais pourtant tellement précieux. Personnellement mo problème se situe en amont : j’ai du mal à visualiser… mon avatar. Du coup j’avoue que mon style d’écriture reste trop généraliste. J’espère un prochain article pour m’aider à savoir comment définir ce lecteur « idéal ». Merci encore une fois pour ces précieux conseils.

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  3. Bonjour Misscopy,
    Je suis dans le même cas que Nicolas. Définir mon avatar est assez difficile car mon domaine (couture créative pour débutant) est assez large et peut intéresser aussi bien le jeune public que des « mamies » qui veulent coudre pour leurs petits enfants… J’essaie d’avoir un style spontané, tel que je serais si j’était en face à face avec la personne mais c’est difficile avec une gamme aussi large.
    Bravo pour cet article qui donne à penser sur des éléments que nous connaissons certes, mais que l’on a tendance à oublier.
    Bien amicalement.

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    • Bonjour Diane,
      Ma réponse sera similaire à celle de Nicolas.
      Est-ce que tu connais tes lecteurs actuels? As-tu des échanges avec eux?
      Quels sont les objectifs actuels et à court-moyen terme pour ton blog?
      Lorsqu’on démarre, on table sur des suppositions, c’est normal. Mais au fur et à mesure que l’on avance, on peut affiner la définition de notre avatar en fonction de nos échanges, de nos évolutions, de plein de choses en fait!
      Si tu veux qu’on en parle un jour, n’hésite pas!
      Je t’invite aussi à aller lire cet article où j’essaie de planter les bases de la définition d’un client idéal:
      https://www.misscopywriting.com/buyer-persona-comment-bien-le-definir/

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  4. C’est vrai que la structure d’un article a un impact plus ou moins important. Le storytelling est un art qui s’apprend mais surtout en passant à la pratique.

    Ce n’est pas évident de savoir si on a fait mouche avec un article. Est-ce que ça vient du SEO ? de sa structure ? ou les deux.

    Cela dit il est évident qu’il faut partir avec de bonnes bases dès le départ.

    Merci pour cet article.

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    • Merci à toi, Luc! Effectivement, raconter des histoires est un outil puissant en écriture et évidemment aussi en écriture persuasive.
      Et je ne saurais être plus d’accord avec toi, c’est en écrivant qu’on affine sa plume et qu’on obtient de meilleurs résultats.

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  5. c’est la qu’on se rend compte que le copywriting est une compétence essentiel à avoir, j’aurais une question à te poser à ce sujet.
    Est ce que tu aurais des conseils de manière général pour rédiger un e-mail persuasive ?

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    • C’est difficile de te répondre sans en savoir plus, sur ton objectif, ton public, si celui-ci te connaît (ta marque) bien ou pas, …
      Pour réussir à être persuasif, le seul secret c’est l’investigation, la recherche. Plus tu en sais sur ton public et plus ce que tu veux leur proposer est clair pour toi (ton offre), plus tu réussiras à trouver les bons mots et les bonnes formules.
      Disons que de manière générale, ton lecteur doit se sentir compris donc si tu veux être persuasif, montre à ton lecteur que tu connais sa situation problématique (celle qui est liée à ton offre) et mène-le petit à petit vers ta solution.

      Si tu peux m’en dire plus, je pourrai être plus précise.

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    • Merci Matthieu! Effectivement, une fois qu’on est lancé souvent les mots viennent. Le tout est de démarrer .

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  6. Encore un super article! C’est vrai que c’est compliqué de trouver le bon ton quand in n’a pas la personne en face! S’imaginer en train de lu parle « en physique » est une très bonne piste! Merci 😉

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    • Merci Mirentxu! Oui, c’est une bonne façon d’humaniser un peu nos textes et de ne pas parler de façon trop impersonnelle.

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  7. une baguette magique, on en rêve tous… pour ma part, j’ai mis la photo de ma cliente « cible », et j’intègre dans mes articles des réflexions personnelles, pour aussi montrer que derrière l’article, ce n’est pas une machine mais bien un être humain avec son authenticité, un peu le même principe que la conseillère dans un magasin te dirait son avis sur le produit qu’elle a testé…

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